Nouvelle

(Conférence) Paillis plastique au SLSJ

Début: 29 janvier 2025 à 19:00 - Fin: 29 janvier 2025 à 21:00

Augmentation significative des superficies recouvertes par du paillis plastique au SLSJ

L’ensemble de la population est invitée à la conférence de messieurs Maxime Paré et Olivier Morissette, professeurs et chercheurs à l’Université du Québec à Chicoutimi, qui se tiendra à la salle du Conseil de l'hôtel de ville de Saint-Félicien (3e étage), le 29 janvier à 19h.

Cet événement prend place dans le cadre du Projet de participation citoyenne de la Ville de Saint-Félicien pour l’amélioration du bassin versant de la Petite Rivière à l’Ours.

Plus sur la conférence

Depuis quelques années, nous observons un accroissement important de l’utilisation de plastique dans la culture du maïs à grande échelle dans notre région. Or, ce plastique est conçu pour se dégrader sur place pour ne pas avoir à le ramasser. Mais, tout porte à croire qu’il ne disparaît pas si facilement et que des conséquences sur la santé des sols sont envisagées.

Une équipe de chercheur de l’UQAC a documenté ce phénomène, particulièrement présent dans notre région. Ils nous présentent leurs travaux. Les conférenciers font partie des auteurs d’un article scientifique paru sur le sujet dans la revue Canadian Journal of Soil Science : Augmentation significative des superficies recouvertes par du paillis plastique du SLSJ.

Plus sur le projet de participation citoyenne

Pour faire face aux enjeux environnementaux sur notre territoire, ce groupe de citoyens adhère au concept de gestion intégrée de l’eau par bassin versant et à la mission de l’Organisme de Bassin Versant Lac Saint-Jean. Les bassins versants sont des vases communicants et celui de la Petite Rivière à l’Ours est le point de départ de leur réflexion et de leur action.

« Le bassin versant du lac Saint-Jean est un territoire isolé du point de vue hydrologique puisque chacune des gouttes d’eau qui tombe à l’intérieur des limites de ce bassin versant, peu importe l’endroit, atteindra à la fin de son parcours le même exutoire : le lac Saint-Jean.

Pour maintenir et améliorer la qualité de l’eau, et nous assurer de bénéficier d’un milieu propice au maintien des activités humaines, il faut prendre en compte et coordonner toutes celles qui ont lieu sur ce territoire. »